L’édito du Journal municipal est souvent un aveu d’impuissance et de regret :
- à commencer par les délais de fabrication de ce journal municipal (7 semaines),
- la gestion du camping de Kerhostin, mal préparée, se heurte à la réglementation administrative qui, jugée « ubuesque », a essentiellement la vertu d’éviter le bétonnage du littoral,
- l’aménagement du centre bourg dont la livraison du matériel n’est pas faite
- la permanence médicale de l’été que les médecins de Saint Pierre ont déjà refusé de faire à Quiberon