Nous avons pu constater au cours de l’été, et encore aujourd’hui, que la sécurité des piétons, voire des automobilistes, n’était pas assurée sur certains points du centre ville.
En effet, les barrières servant à empêcher le passage des voitures les jours de marché, traînent sur les trottoirs le reste de la semaine, étant remisées le long des murs pour la plupart.
Quand les trottoirs sont larges il n’y a pas de soucis, si ce n’est que parfois les enfants aiment les escalader, mais en certains endroits, l’étroitesse de certains de ces trottoirs, entre autre à un carrefour dangereux du centre ville, obligent les piétons à descendre sur la rue, ce qui les met en danger, surtout en période d’affluence estivale où la circulation est dense. Et bien que la circulation des piétons soit prioritaire, de nombreux automobilistes n’y prennent pas garde.
D’autre part, nous avons vu cette semaine une semi-remorque de vente d’outillage obligée de se stationner en extérieur du parking, le long de la rue Noire, en raison du stationnement non géré d’un certain nombre de véhicules sur l’ensemble du parking de l’office de tourisme.
Elle dépassait largement sur la chaussée, créant un rétrécissement dangereux, d’une part pour la circulation qui se fait à double sens à cet endroit et d’autre part, en bouchant la visibilité à gauche pour la sortie du parking.
Un problème similaire est arrivé au mois d’août avec un vendeur de surplus militaire. Il a eu la surprise en arrivant sur le parking de l’église, là où il se stationne habituellement, de voir que toutes les places étaient occupées par des voitures. Finalement, ayant trouvé un emplacement sur le parking de l’office de tourisme, il s’y est installé sans autorisation
Ses clients potentiels ont du le chercher car il n’était pas à l’endroit indiqué sur ses affichettes….
Une autorisation de stationnement est obligatoirement demandée en mairie à l’avance afin de pouvoir s’installer le jour venu. Alors, pourquoi dans ces deux cas, les emplacements n’ont pas été réservés avant l’arrivée des exposants ?
Oubli ? Négligence ? La question
Philippe CHEVALIER